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JEAN FERRAT

La biographie « somme »

Ce qu'en pensent...

 

... des proches, des amis, qui ont apporté leur témoignage*,
ainsi que des artistes (de Dominique A à Claude Vinci),
quelques passionnés, animateurs de blogs ou sites sur le web
et quelques lectrices et lecteurs qui ont voulu donner leur avis,
y compris sur les sites commerciaux d'Amazon et de la FNAC
(à suivre)



FAMILLE ET PROCHES


Véronique ESTEL*
(fille de Christine Sèvres, la première femme de Jean Ferrat)

Cher Daniel,
Bravo pour ce livre passionnant et (car) passionné.
Je savais qu’en amoureux de la « belle » chanson et de la création, tu allais faire un important travail d’étude de l’œuvre de Jean (pour le fond, la forme et la musique) et j’étais certaine que tu le respecterais, autant Ferrat – l’homme public, que Jean dans son intimité, (et de fait nous, ses proches). D’ailleurs j’ai appris beaucoup de choses ! C’est très utile aussi d’avoir évoqué le contexte politique et social, lors de ce parcours de vie.
Enfin, et ce n’est pas la moindre, je suis très touchée que tu aies vraiment parlé de ma Christine, ma mère, ma Sèvres. Donc merci pour ce bel hommage.

Clarisse TENENBAUM*
(fille de Pierre, le frère aîné de Jean)

Je connaissais l'homme,l'oncle, le chanteur, mais ton livre m'a fait découvrir l'homme engagé.Tu as retracé aussi toute mon « Histoire » au travers des positions politiques de Jean. Merci Daniel pour ton livre très bien documenté et très émouvant pour qui a suivi tout le parcours, de la petite fille des débuts à la femme mûre des derniers instants. Je savais mon oncle courageux, merci de me l'avoir démontré.

Sylvie CHALEIX*
(fille de Raymonde, la sœur de Jean)

Même si je n'en ai pas terminé la lecture , je voudrais te remercier pour le souvenir de Jean que tu perpétues par ce livre avec sincérité, professionnalisme et un souci de fidélité. Il est ainsi encore un peu présent parmi nous et je retrouve avec toujours autant d'admiration le Tonton plein d'amour qu'il fut. Pour mon fils et ses cousins, cousines, il est important, car il est la  mémoire de notre famille ; il leur transmettra les souvenirs que nous aurons oubliés et que nous avons déjà oubliés pour certains. C'est aussi une partie de mon histoire que tu racontes et je revis avec émotion des moments de mon enfance.

Vincent MAZALAIGUE*
(fils de Clarisse Tenenbaum)

La biographie que tu as écrite est remarquable à plusieurs titres.
D'abord, Jean ne voulait pas en entendre parler. Sauf qu'à force de le citer à travers les multiples interviews qu'il a choisi de donner, tu le fais participer et ne dévoile que ce qu'il avait choisi lui-même de livrer. En quelque sorte, tu respectes sa volonté. Ensuite tu arrives à remettre l'œuvre de Jean dans son contexte avec la rigueur de l'historien. Histoire de la chanson française et histoire politique seront nécessaires à la compréhension et à la persistance de son œuvre pour les générations futures. Enfin, tu portes un regard critique sur son travail, le regard du journaliste de chanson française.
Tu m'a aussi fait découvrir, l'histoire de mon « tonton Jean » que je connaissais finalement assez mal. Je te remercie pour avoir eu le courage de faire ce travail.

Jacques BOYER*
(auteur-compositeur, ancien chanteur,
régisseur de Jean puis administrateur de ses tournées)

J'ai retrouvé ce que j'ai vécu avec Jean pendant 50 ans, dont 20 de tournées et autres dans cette biographie ; et il y a enfin Christine. Merci a toi, Daniel, pour cet énorme travail. Je suis sûr que Jean aurait aimé.

Odile EZDRA*
(ancienne chanteuse, alors femme de Jacques Boyer)

Bouleversée ! Je ne suis pas une spécialiste, mais j’ai particulièrement apprécié cette biographie. Complète, imagée, objective et sans pathos, elle est un modèle du genre.
Au fil des pages, j’ai retrouvé « notre » Jean tel qu'il était et tel qu' il demeurera dans la mémoire collective : simple,sincère, courageux et engagé dans tous les combats. Ses mots, comme ceux de Ferré, Brassens ou Brel, portaient des coups et faisaient frémir les consciences. Tu le soulignes parfaitement.
A mon sens, l’un des plus grands mérites de cette biographie est de mêler magistralement un demi-siècle d’histoire au cheminement de Jean. Les grands moments, les événements marquants de notre époque sont présents ou suggérés. J’ai personnellement revécu, avec une émotion intense, des scènes que je croyais oubliées, j’ai retrouvé des êtres chers, j' ai revisité des lieux familiers.
Bien sûr, je te félicite chaleureusement. Mais plus encore je te suis reconnaissante d’avoir fait ressurgir du passé tant de souvenirs, amusants ou douloureux, émouvants ou piquants.
Avec cette biographie, tu mets Jean au Panthéon des poètes et des humanistes. Il était l’un des plus grands parmi les grands ; s’il en était besoin, tu le démontres avec une force de persuasion formidablement efficace. Merci Daniel.

Natacha EZDRA*
(auteure-compositrice-interprète)

Je dois bien l’avouer, il m’a fallu un certain temps avant d’ouvrir ce livre car connaissant l’auteur, tant par ses qualités humaines que professionnelles et connaissant Jean, je savais bien qu’une grande émotion risquait de me submerger. Toutefois, je me suis plongée dans cette biographie avec bonheur et au fil de l’histoire, celle de Jean, des époques traversées, de Christine Sèvres aussi, j’ai été tantôt émue, tantôt amusée, surprise ou admirative. Comme si les pièces manquantes au puzzle des récits familiers m’apparaissaient soudain clairement. Et bien qu’ayant pris le temps de déguster cet ouvrage, passionnant, j’ai ressenti un réel pincement au cœur d’en voir arriver son terme.
Si bien que… je recommence !

Serge EZDRA
(neveu d'Odile Ezdra)
J'ai dévoré le livre que vous avez eu la gentillesse de me dédicacer à la sortie du dernier récital de ma chère cousine Natacha au XXe théâtre. Elle m'a donné votre adresse mail pour me permettre de vous adresser mes plus chaleureuses félicitations.
Bien qu'éminemment exhaustif et savant, votre ouvrage n'est jamais ennuyeux, bien au contraire ! Parmi mille autres choses, j'ai beaucoup apprécié votre façon de replacer par touches légères la carrière de Jean dans son contexte historique, mais aussi historico-artistique. J'ai découvert et appris beaucoup, mais j'ai aussi retrouvé l'ambiance des tournées que je suivais enfant, pendant les vacances, avec Odile et Jacques. On respire également dans vos lignes l'air d'un temps où la politique prenait tant de place dans nos vies, de nos fêtes de l'Huma à nos combats, de la censure à l'espoir cubain. Et que dire de vos évocations d'Antraigues où je jouais enfant avec Oural, où je campais adolescent avant l'ouverture de la Montagne - j'y fis un temps office de serveur - et où je n'ai eu de cesse de retourner depuis ? J'ai aussi beaucoup aimé que ce « Jean Ferrat » soit également un « Christine Sèvres » à qui vous savez rendre l'hommage que méritait son talent. J'ai enfin apprécié que vous ne vous comportiez pas en thuriféraire béat et que vous sachiez pointer ici la faiblesse d'un texte, là la contradiction de deux positions. Bref, je sors d'un moment d'enchantement, de nostalgie sans tristesse, de plongée revigorante dans le temps des idéologies. Pour tout cela, je voulais simplement vous dire merci.


ARTISTES, GENS DE PLUME,
PROFESSIONNELS DE LA CHANSON


Dominique A*

(auteur-compositeur-interprète)
J'ai une dette vis à vis de Jean Ferrat. Il est, à égalité avec Brel, le chanteur que j'ai le plus entendu et écouté durant mon enfance; je ne dirais pas qu'il a bercé celle ci, il l'a plutôt gentiment bousculée, en me donnant le goût de la chanson et en orientant ma vie de façon assez définitive. Aussi, quand Daniel Pantchenko m'a proposé de parler de mon rapport à Ferrat pour la biographie qu'il lui a consacrée, j'aurais été bien en peine de ne pas répondre à l'invitation; j'étais fier de lui être ainsi associé, ne fût ce que le temps de quelques pages, par témoignage interposé. Et à la lecture du livre, ce sentiment ne s'est pas atténué.
Souvent, la réussite d'une biographie tient à une simple histoire de distance entre l'auteur et son sujet: le biographe doit être assez distant pour ne pas verser dans le panégyrique (ou dans la démolition en règle s'il abhorre celui dont il cause), sans non plus traiter son sujet de trop haut, la crainte de trop d'empathie affichée donnant alors au lecteur le sentiment d'un détachement guère incitatif. Dans sa biographie, Daniel Pantchenko se place selon moi à la distance idéale vis à vis de Ferrat. D'emblée, il confesse son admiration pour « l'Ardéchois », mais jamais cette admiration ne vire à la dévotion confite. Cela tient à ce que chaque moment de la vie et de la carrière de Ferrat est replacé avec beaucoup d'à propos dans le contexte d'une époque ; l' évolution personnelle et artistique du chanteur est, plus que chez tout autre, liée aux temps qu'il traverse. L'histoire que nous retrace Daniel Pantchenko est celle d'un artiste qui invitait l'époque dans ses chansons, qui n'avait pas peur d'elle, mais qui ne lui sacrifiait pas non plus son goût pour la mélodie, et même pour une certaine sophistication musicale qui ne s'embarrassait pas de modernité; ce qui est le meilleur moyen de ne pas se démoder, et qui fait que Ferrat est, en dépit de sa notoriété, encore un artiste à découvrir; personnellement, je ne vois guère ce qu'on peut souhaiter de mieux à un artiste que d'être sujet à une redécouverte perpétuelle, et vis à vis de Jean Ferrat, le livre de Daniel Pantchenko y est hautement incitatif.(Voir réaction d'un lecteur, ici).

Jean-Claude BARENS*
(producteur de Véronique Pestel, directeur du FestiVal de Marne)

Le livre de Daniel Pantchenko déboutonne notre mémoire. Par petites pressions. Délicatement. Il réunit toute la substance nécessaire pour traverser en émotions ou en gouleyantes anecdotes, la vie de cet Ardéchois cœur fidèle, qui est venu rejoindre en mars dernier, le cercle des poètes disparus.

David JISSE*
(auteur-compositeur-interprète, producteur à France Musique « électromania »,
directeur de La Muse en Circuit - Centre national de création musicale)

Plus qu’une biographie de Jean Ferrat, ce livre témoigne de la complexité d’une vie qui croise en permanence celle de l’oeuvre. Il a le mérite d’être très documenté et articulé autour d’un travail d’enquête sérieux. Il est aussi écrit par quelqu’un qui au delà de faire son métier de journaliste est au coeur même des valeurs que défendait cet artiste et laisse percer sa sensibilité et son émotion.

JOFROI*
(auteur-compositeur-interprète,
directeur du festival Chansons de Parole, de Barjac)

Je veux simplement te dire que j’ai pris beaucoup de plaisir, que j’ai appris beaucoup de choses, que j’ai trouvé l’écriture belle, précise, respectueuse, nous reportant sans arrêt dans le contexte politique et social, nous faisant le portrait d’un homme pur et droit, d’un poète et d’un musicien, sans donner ni clé ni jugement, nous laissant peut-être dans sa propre interrogation. Bravo et merci.

Allain LEPREST*
(auteur-interprète)
Le biographe doit-il à tout prix s’effacer derrière son sujet ? Trop d’engouement de sa part, de fascination, ne risquent-ils pas d’embellir ou a contrario d’écorner l’histoire, le portrait dont il nous offre la lecture ?
Rien de tout cela, dans le bel ouvrage où Daniel Pantchenko nous propose de suivre  l’itinéraire passionné et buissonnier d’un homme tant aimé et qui nous l’a tant rendu.
L’auteur semble marcher à ses côtés et l’ami Jean lui souffler à l’oreille les bonnes adresses de ses amitiés, les rencards de son histoire avec la grande, des plus exaltants aux plus douloureux. Le bouquin achevé, on pourrait à loisir le reprendre de la fin jusqu’à son prologue… de l’embouchure vers la source. Source, ressourcement… ces mots qui conviennent si bien au poète. Ah, la belle biographie !

Roger MARTIN
(auteur d’une trentaine d’enquêtes, documents, romans noirs dont AmeriKKKa,
Jusqu’à ce que mort s’ensuive et Les Ombres du souvenir, dédié à la mémoire de Jean Ferrat)

Je voulais vous féliciter pour votre magnifique biographie de Ferrat. Auteur de trente ouvrages (documents, enquêtes, romans noirs…), j’ai contacté à plusieurs reprises Jean Ferrat pour écrire sur lui. Sa première réponse fut qu’il ne méritait « ni cet excès d’honneur ni cette indignité ». Je suis heureux en lisant votre ouvrage qu’il ne m’ait pas encouragé. Je n‘aurais jamais pu atteindre à la richesse du vôtre. Encore bravo.

Patrick REBOUD
(accordéoniste et directeur musical du spectacle et CD
« Natacha Ezdra chante Jean Ferrat : Un Jour Futur »)

Je termine à l'instant ton livre sur Jean Ferrat, que tu m'avais dédicacé au XXe le 4 octobre dernier... Simplement envie de te dire Bravo et un immense Merci pour cet ouvrage admirable.

Jean VASCA*
(auteur-compositeur-interprète)
Quelle émotion de retrouver au fil des pages la présence de Christine. Elle m'avait à l'époque très impressionné. Et puis revivre grâce à ton travail minutieux, certains épisodes de la vie de Jean, ceux que je connaissais et ceux que j'ignorais. Un pavé digne de cet ami si simple et si vrai. Merci Daniel.

Claude VINCI*
(auteur-interprète, ancien chanteur)

Grand bravo et grand merci pour la biographie Jean Ferrat « Je ne chante pas pour passer le temps ». Ce qui est formidable, c’est d’avoir inclus la vie et les œuvres de Jean dans tous les événements politiques et sociaux de France et du monde entier et, de plus, très bien écrit. Je pense que Jean, qui n’était pas très favorable à ce qu’on écrive une biographie sur lui, aurait aimé la tienne.


BLOGS ET SITES WEB

Fred Hidalgo – Si ça vous chante (03/10/2010)
http://sicavouschante.over-blog.com/article-jean-ferrat-la-bio-58186689.html

[…] c’est une reconstitution extrêmement minutieuse de la vie et de la carrière de Jean Ferrat, avec un travail complémentaire et absolument unique d’analyse des chansons) jusqu’au plus loin possible. C’est-à-dire en recueillant d’autres témoignages, depuis la mort de l’artiste, d’amis et de proches qui se sont confiés, pour certains, comme jamais ils ne l’avaient fait auprès de quiconque.
[…] Pour le « reste » (570 pages !), quatre parties divisées en vingt-neuf chapitres : du « Crépuscule de l’aube » (qui ouvre le livre de façon fort originale sur le second Palais des Sports de Ferrat, en octobre 1972, « lieu où seul s’est alors risqué Johnny Hallyday », qui sera son ultime apparition scénique à Paris), jusqu’à « L’émotion populaire » de 2010. Dans l’intervalle, rien ne manque, tout y est : l’enfance heureuse, la mauvaise « étoile », la scène, les chansons, les démêlés avec la censure, Cuba, Mai 68 (car ce livre, ce qui ajoute énormément à son intérêt, raconte aussi la grande histoire en parallèle à celle d’un artiste qui a su saisir à la perfection ses soubresauts, jusqu’à prendre sèchement ses distances en 1980 avec « le Parti » à propos du Bilan), Aragon bien sûr… « et tant d’autres choses » (comme dit l’hebdo déjà cité) dont cette mémorable rencontre avec Brassens, dans L’Invité du dimanche, le 16 mars 1969 sur la deuxième chaîne, autour de Jean-Pierre Chabrol et de l’engagement dans la chanson.

[…] Une discographie exhaustive, un index et un cahier hors texte de seize pages (une trentaine d’illustrations et deux courriers de 1973 adressés à l’auteur par Ferrat et… Aragon !) complètent ce qui restera, à n’en pas douter, la biographie de référence de ce monstre sacré de la chanson. Si je me permets de l’affirmer ici, bien que j’en aie été le « directeur d’ouvrage », c’est non seulement parce que j’en suis convaincu, mais aussi – pour en revenir à ma « digression » de départ – parce que ce livre ressemble vraiment à celui que j’imaginais, à la hauteur de son sujet, en osmose avec lui, ce qui n’est pas peu dire en l’occurrence.

En tête d'affiche sur Amazon.fr

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Michel Kemper – Nos enchanteurs… (04/10/2010)
http://nosenchanteurs.wordpress.com/tag/jean-ferrat/

[…] Mon collègue de Chorus, qu’on connaît pour sa rigueur, pour son soucis de l’extrême précision, nous fait revivre le chanteur, courir sa vie sur près de six cents pages, de ses premières scènes, notamment celle en 1954 en levée de rideau d’Aznavour à L’Échelle de Jacob, jusqu’à cette fin d’hiver 2010, à Antraigues-sur-Volane. Une somme, dit-on. C’en est une, livre qui longtemps fera référence. C’est la vie d’un homme, couchée sur papier, nimbée de respect. C’est son œuvre aussi, disséquée, analysée. Un livre utile, pour comprendre plus encore l’importance du bonhomme et ce qu’il nous laisse. Daniel Pantchenko, Jean Ferrat « Je ne chante pas pour passer le temps », 570 pages, 2010 Fayard.


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LECTRICES ET LECTEURS DIVERS

Jean-Louis BEDOU (31, Colomiers - Fan de Ferrat connu au service militaire - cf. p.162, note 32)
Je ne suis pas un spécialiste du « marketing »... mais par rapport à une biographie de Jean Ferrat qui m'a été offerte (Jean Ferrat, une vie, de Jean-Dominique Brierre), je jugerais la tienne plus « professionnelle » par sa précision, sa rigueur et l’analyse de ses chansons. Pour moi la qualité principale de ton bouquin est de traiter la vie et l'œuvre de Ferrat en les replaçant dans le quotidien et le contexte politiques de notre pays, mais aussi dans la vie de beaucoup d'entre nous. Tu as fait œuvre d'historien à travers la carrière de Ferrat... Et puis, on perçoit ton respect, ton admiration, voire ton amour... »

Huguette FARGES-CHASSIGNOL (60, Compiègne)
Bravo c’est gagné, on la voit, on la sent, on la ressent la cohérence de sa vie de pages en pages.
Quel merveilleux hommage à Jean Ferrat […] La photo de couverture, le titre de votre livre, les témoignages tout tout tout m’a séduit, on a l’impression de l’accompagner, d’avoir été auprès de lui à chaque instant. J’ai également beaucoup apprécié les rappels des événements historiques qui ont jalonné sa vie, ses combats. Merci pour toutes ces émotions partagées. Je manque de mots pour exprimer ce que j’ai ressenti mais il est sûr que je vais  lire et relire votre ouvrage et le conseiller autour de moi. Une admiratrice de Jean Ferrat qui le redécouvre plus intensément depuis son départ.

Jean-Pierre CHASSAT (92, Gennevilliers)
Je désirais, simplement, vous remercier pour l’excellent ouvrage que vous avez écrit sur Jean Ferrat, « Je ne chante pas pour passer le temps ». C’était toujours un grand plaisir, pour moi, que d’ouvrir cet ouvrage et de le lire, presque avec voracité ! J’en ai apris beaucoup sur cet homme merveilleux, ardéchoix de passage, défenseur des travailleurs et ami de toujours. Je vous remercie de m’avoir apporté un peu de bonheur.

Janine CHOLET (51, Épernay)
J’ai acheté votre livre sur Jean Ferrat. Sa biographie, et je tiens à vous remercier pour tout ce que vous avez écrit avec votre cœur. Je savais beaucoup de choses, déjà, car depuis longtemps, je découpais les pages de journaux qui parlaient de lui (je faisais la même chose pour J. Brel et G. Brassens)[…] Je voulais le voir et en 1988, je suis allée à Antraigues. Il était là, sur la place, et il dédicaçait des pochettes de 33T à une « fan ». Moi, je n’avais pas de papier pour la dédicace. Alors, je lui ai donné un billet de 200 francs (le 8-8-1988).

Jean Ferrat et le billet de 200 francs

Le 8-8-98, je suis allée à Alès, mais je n’ai pas voulu le déranger. J’avais apporté du champagne qu’on lui a remis. Et comme c’était pile 10 ans après, je lui ai envoyé mon fameux billet pour qu’il le dédicace (recto-v erso, donc) ce qu’il a fait. Billet que je garde bien précieusement.
[…] En 1992, avec une amie, retour à Antraigues. Il était là, jouait aux boules, mais comme j’avaisapporté une bouteille, nous avons bu une coupe sur la place comme si c’était un bon copain.

Jean Ferrat - Pétanque-1  Jean Ferrat - Pétanque-2

[…] J’espère aller à Antraigues en 2011. Ce sera plus calme pour moi, pour descendre au cimetière. Bien sûr, j’ai bien pleuré en regardant l’hommage à la télé. Il était encore si jeune […] Encore merci pour votre bouquin.

Françoise BELLEGARDE (23, Saint-Sulpice-le-Guérétois)
Merci à Daniel Pantchenko qui a écrit un livre authentique et indispensable pour celles et ceux qui, comme moi, avaient une grande admiration pour l'Homme et le chanteur-poète que fut Jean Ferrat...

Dessin Jean Ferrat


Éliane ROSSI (43, Tiranges)

Merci, M. Pantchenko, pour cette biographie très complète et si agréable à lire ; on suit avec émotion le parcours de Jean Ferrat à travers l'histoire de la France ; les témoignages de ses proches sont émouvants ; grande admiratrice de Ferrat depuis toujours, j'ai pris un réel plaisir à cette lecture !

Régine DAMÉS (84, Montfavet près d'Avignon)
Fervente admirative de Jean Ferrat depuis l' âge de 12 ans, j'en ai 61, je me suis plongée avec délice dans la biographie que vous lui consacrez.
Plusieurs livres ont été écrits, livres qui sont dans ma bibliothèque, ceux-là m'avaient laissé un goût d'inachevé !!! Alors que le vôtre me comble de bonheur et de tristesse, car vous mêlez l'Histoire de notre pays à celle de Jean Ferrat, donc plus abouti...
Comme des millions de Français, j'ai été bouleversée par son décès, je le suis toujours! Comment ne pas l'être alors que disparaît celui qui a contribué à être ce que je suis devenue au fil des ans : une Femme debout, combative, droite, libre...
Il n'a jamais failli, jamais trahi ! Votre livre permet de mieux le découvrir. Soyez-en remercié.

Didier DELEZAY / Oté Pirates (La Réunion)
Je tenais à vous dire combien la lecture de votre excellente biographie sur Ferrat fut non seulement un régal, mais également très précieuse pour nous imprégner en vue de notre prochain spectacle.

Oté Pirates

Paul MARTIN (41, Blois)
Je vous écris ces quelques lignes pour vous dire combien j'ai aimé la biographie de J. Ferrat. Quel travail remarquable avec toutes ces notes... Chapeau ! J'ai toujours apprécié l'homme et le chanteur. Grâce à votre livre, mes connaissances seront désormais plus approfondies. Merci à vous.